« Aux mains d’un Breton, un penn bazh est une arme terrible », disait Guy Eder de Beaumanoir de La Haye, dit La Fontenelle, célèbre brigand breton, mort supplicié en 1602.

Dans les mains de Jean-Luc Mordret, le penn bazh devient un instrument de joute, où il n’y a pas d’adversaire, mais des partenaires.

Ces derniers ont pu apprendre les codes qui régissent les combats, une gestuelle précise, avec des mouvements qui peuvent s’assimiler parfois à de la danse.

« Nous sommes tous des Chevaliers de la Paix et du possible, encore faut-il que nous ayons le courage de ne pas renoncer à cette quête, celle de la vie, du partage, de l’Amour. Pratiquez encore et toujours votre humanité. Nous sommes le même cœur et la même Terre sous le même soleil. Tout ceci, vous l’apprendrez par le Bâton, en appliquant ces mêmes règles à l’apprentissage de la Joute. »